François : La Fête DAnniversaire Tourne À LOrgie. (Partie 4)
Dans la première partie du récit, François en rentrant de Paris, avait rêvé que la fête danniversaire de son fils, se transformait en orgie. Comme je vous lavais promis, je continue les aventures de François. Dans la partie 2, François avait fait la connaissance de Josiane, une veuve bourgeoise chaude comme de la braise qui ne pouvait plus se passer de lui et de sa queue magique qui la faisait jouir comme une folle, pendant que sa femme Anne-Marie lavait trompé également avec Benoit, un jeune métis de 20 ans dont la verge navait rien à envier à celle de Rocco Siffredi, dans la partie 3. Rappelez-vous, après avoir chacun à leur tour avoué leur adultère, Anne-Marie avant de sendormir, proposa à François :
Pourquoi ninviterions-nous pas Josiane et Benoit à la maison ?
Le lendemain au petit déjeuner, François reparla de Benoit, en demandant à son épouse si elle voulait renouveler lexpérience avec lui. Sans aucune arrière-pensée. Elle lui sourit et répondit :
Si tu ny vois pas dinconvénient, je nhésiterais pas une seconde. Jai vraiment pris du plaisir avec lui.
Tu en prends aussi avec moi, je me trompe ?
Non bien sûr ! Mais ce nest pas pareil, nous nous connaissons que trop bien et ce changement de partenaire est très excitant surtout quil est jeune vigoureux et je tavoue jai aimé sa belle tige
Et toi, cétait bien avec ta veuve ?
Putain oui ! Je te jure que jai bandé comme un taureau. Elle était en manque, elle sest défoncée et ne ma rien refuser.
Comment vois-tu les choses, as-tu envie de la revoir ? Je crois que tu as reçu un SMS de sa part te demandant : « Quand reviens-tu ? »
Comment fait-on ma chérie ? On prend notre pied chacun de notre côté ? Le principal, cest que nous soyons au courant. Si cela ne te dérange pas, jaimerais tenter lexpérience mais nous nous racontons tout comme hier soir. Daccord ?
Je suis entièrement partante, Benoit aussi ma envoyé un texto.
Dun commun accord, voilà leur couple adepte à lunion libre, le petit sentiment de jalousie qui avait traversé lesprit du mari trompé hier soir, avait totalement disparu. Au contraire, lors de leur discussion, il bandait pendant quAnne-Marie lui avait avoué quelle aussi cela lavait fait mouiller. Les voilà donc maintenant face à leurs responsabilités, ils sétaient promis de ne rien se cacher, mais ils devaient également préparer le terrain pour une rencontre à quatre.
Pendant ce temps, Richard, qui venait de rentrer et Margot qui venait juste de se lever, tous les deux avec des têtes de déterrés, écoutaient la conversation de leurs parents, discrètement dans le couloir. Ils écarquillaient les yeux, ils nen revenaient pas. Leur mère sétait faite baiser par Benoit, leur ami ! Et leur père avait sauté une femme dans le train ! Le pire, cétait quils y avaient pris goût et voulaient recommencer et même de les inviter chez eux faire une partie à quatre.
Ils pénétrèrent dans la cuisine en toussant faisant semblant de ne pas avoir entendu leur conversation. François demanda à son fils sil avait apprécié son cadeau danniversaire offert par ses amis.
Apprécié, cest un simple mot papa, Laetitia est une vraie bombe atomique, elle ma épuisé comme jamais. Je lui ai fait lamour sept fois depuis hier soir, jen ai la bite toute irritée et je narrivais même plus à éjaculer. Sous la douche avant de partir, elle sest accroupit, ouvert la bouche et ma demandé de lui uriner dessus.
En effet mon chéri, tu tes bien amusé je vois. Dit sa mère en riant. Allez ! Va te coucher, tu en as besoin.
Et toi ma fille comment cest passé ta soirée ? demanda François.
Jai mal au cul ce matin, je viens de me faire sodomiser pour la première fois. Jai même pris deux bites en même temps. Dit sans pudeur Margot à ses parents.
Ce nest pas vrai ! Dit François dun air étonné.
Les chiens ne font pas des chats, nous avons entendu votre conversation. Je vois que pour vous, sexuellement, vous avez tout à nous apprendre. Répondit Margot en se préparant le petit déjeuner.
La conversation sarrêta net, lorsque Céline pénétra dans la cuisine avec la même tête déconfite que leur fille, elle semblait elle aussi, épuisée et se tordait également les fesses. Elle avait dû subir le même sort que leur fille, pensèrent instantanément Anne-Marie et François qui se sourirent en se regardant. Elle dit bonjour tonton, bonjour tata en se dirigeant dans le réfrigérateur afin de sortir un jus dorange. Cette discussion avait passablement excité les deux époux qui sexcusèrent en disant aux s queux aussi étaient fatigués et quils se recouchaient. Une fois dans le hall dentrée où les deux époux déposaient leur portable, avant de monter dans leur chambre, afin de refaire lamour, ils avaient répondu aux textos quils avaient reçu quelques minutes plus tôt.
François obtenait facilement un rendez-vous avec Josiane le mercredi en fin daprès-midi après sa journée de travail. Cette femme était tellement pressée de le revoir quelle lui avait demandé de venir dès le lundi soir, au pire le mardi mais François devait récupérer de son week-end. De son côté, sachant que ses s étaient tous les deux en cours, Anne-Marie avait accepté de recevoir chez elle, le mercredi juste après le déjeuner, Benoit qui bossait du matin. Ils se regardèrent, se sourirent et se dépêchèrent daller se retrouver en toute intimité. Ils grimpèrent les escaliers à toute vitesse, se dévêtirent et sautèrent ensemble dans le lit conjugal.
Margot avait tout raconté à sa cousine Céline, les histoires de sexe de ses parents les avaient bien amusées. Elles avaient même poussé le vice de regarder les textos quils avaient envoyés tous deux : « Putain, cest vrai ! » Sexclama Cécile qui navait cru quà moitié sa cousine, avant de rajouter : « Si nous séchions mercredi ? Nous pourrions peut-être venir espionner ta mère.
Ils prennent leurs pieds tes parents.
Tu nas encore rien entendu, attends encore un peu.
En effet, quelques minutes plus tard, elles entendirent François poussé un grand râle en éjaculant, pendant quAnne-Marie hurla en prenant un nouvel orgasme.
Putain ! Je nai jamais entendu mes parents crier de la sorte.
La situation, les avait une nouvelle fois très excitées, elles se prirent dans les bras et sembrassèrent sur la bouche. Ce nétait pas la première fois, elles en avaient pris lhabitude depuis leur début dadolescence. Elles se caressèrent mutuellement, firent un 69 et se firent jouir avec la bouche et les doigts sans oser toucher lanus douloureux de lune comme de lautre, avant de se rendormir.
Il était 14 heures précise ce mercredi, lorsque Benoit sonna à la porte de chez Anne-Marie. Celle-ci lattendait déjà dans le hall dentrée, dans un petit déshabillé coquin quelle aimait porter lors des retrouvailles avec François, lorsque celui-ci partait pour quelques jours. Le jeune métis nen croyait pas ses yeux, planté devant la porte, il ladmira sans rien dire, tandis que la maitresse de maison le tira par la manche afin quil entre. Viens là que je tembrasse mon petit lapin. Dit tendrement Anne-Marie à son jeune amant. Ils senlacèrent et sembrassèrent fougueusement.
Elle ressentait déjà lénorme érection quavait Benoit, plaqué contre son ventre. Elle lui prit les fesses à pleines mains et sur la pointe des pieds, elle se colla encore un peu plus contre lui en remuant du bassin afin de frotter son pubis contre son sexe dur comme de la pierre :
Viens tassoir, je vais te servir un café. Nous avons toute laprès-midi pour baiser.
Toujours aussi timide, Benoit nosait pas parler de la soirée danniversaire, ce fut Anne-Marie qui lui demanda comment il avait trouvé leur petite sauterie :
Je suis désolé Madame ! Vous avez aimé ?
Bien sûr mon petit chéri, jai même adoré. De quoi es-tu désolé ?
Je vous ai traité de salope et tout ça
Tu as été parfait comme ça, il faut savoir dire ces choses et encore salope ce nest rien. Sale chienne, sale pute cest encore plus excitant tu sais. Je vais te poser une question à mon tour. Avais-tu déjà baiser une fille avant moi ?
Non madame, cétait réellement ma première. Javais essayé il y a deux ans avec ma copine, mais lorsquelle a vu mon sexe, elle ma traité de monstre et ma demandé de déguerpir. Depuis je me fais un complexe, je trouve mon sexe trop gros.
Comment ça ! Trop gros ? Mais tu es fou Benoit, bien des femmes aimeraient avoir ta queue dans leur chatte même dans leur cul.
Toute cette conversation les avait mis dans un état dexcitation mutuel. Très vite, Anne-Marie sauta sur lui et le déshabilla pendant quil lui enlevait sa petite tenue. Ils avaient fait lamour deux fois en lespace dune heure, le gamin était résistant et elle avait pris son pied. Après son deuxième orgasme, elle se leva nue et resservit le café en lui disant quil devait reprendre des forces : « Mon petit chéri, veux-tu connaitre la sodomie ? Enfin es-tu prêt à le faire ? »
Benoit senhardissait de minutes en minutes, il parvenait à ne plus la vouvoyer, il la regarda et lui répondit : « Tu vas voir ! Tu vas prendre ma bite dans ton cul et tu men diras des nouvelles. Bien sûr que je vais tenculer sale pute. » Dans le hall dentrée, Margot était déjà là depuis un petit moment, elle avait suivi toute la dernière conversation. Comme lui avait demandé sa mère la veille, lorsquelle lui expliqua quelle préfèrerait que Céline ne soit pas présente car elle ne voulait pas de problème avec sa sur Christine.
Elle avait rassuré sa fille en lui jurant quelle adorait son père et quil était hors de question quils se séparent. Lui disant simplement quils sentendaient à merveille et que leur couple prenait un virage dans leur vie sexuelle déjà bien consommé. Cela leur permettra de mieux se retrouver et que chaque parti était consentant. Elle finit par linviter à la rejoindre dès quelle pourra se libérer.
Lorsque Margot pénétra dans le salon, les yeux fixés sur le membre au repos de son ami Benoit, elle comprit pourquoi sa mère en était si gourmande. Surpris, le jeune métis à la vue de la jeune fille se mis les mains sur le sexe et devint pâle malgré sa couleur de peau :
Non mon petit lapin ! Montre ton beau sexe à Margot, elle est venue spécialement suivre un cours particulier de sexualité. Ça ne te dérange pas quelle se joigne à nous ? Entre ma chérie, tu vas maider à lui redonner de la vigueur.
Sans attendre la réponse du jeune amant, Anne-Marie sagenouilla devant Benoit très vite rejoint par sa fille qui venait denlever ses vêtements. Sous leffet de deux langues et de deux bouches mais aussi de quatre mains, Benoit avait repris des forces. « Sa bite était magistrale. » Pensait Margot. Sans plus attendre, Anne-Marie se pencha en avant le derrière en évidence et demanda à Benoit de sapprocher en disant : « Allez mon lapin encule-moi. » Margot écartait les fesses de sa mère, comme elle lavait fait le week-end dernier à Céline, pendant que Benoit lui perforait lanus. Il entrait et sortait lentement profitant un maximum du moment.
Margot ne voulant pas restée comme spectatrice, sétait, elle aussi, mise en position mais demanda à son ami de ne pas la sodomiser en prétextant quelle avait encore mal au trou de balle. À tour de rôle, le métis monté comme un taureau allait dun trou à un autre, faisant quelques aller et retour qui procurait beaucoup de plaisir à ses deux partenaires. Après quelles aient atteint lorgasme lune après lautre, il retira sa capote et leur demanda de lui faire face comme il avait vu dans les vidéos X, quil regardait régulièrement. Face à elles, il se branla et envoya pour la troisième fois de laprès-midi, de longs jets de semence quelles reçurent sur le visage.
Une fois nettoyés et rhabillés, Margot monta dans sa chambre en remerciant Benoit et Anne-Marie servit une bière bien fraiche à son bel et jeune amant avant de lui dire :
Si tu veux, nous pouvons nous voir tous les mercredis, ça te va ? Je pense que tu as aussi une chance avec ma fille. Après ce quelle vient de connaitre, elle ne devrait rien te refuser.
Pas de problème Madame, vous avez donc apprécié ?
Que tu es bête, mon lapin ! Arrête de me vouvoyer et appelle-moi par mon prénom. Bien entendu ! Cétait génial. Dautre part, mon mari et moi nous voulons tinviter à un repas. Nous voulons te présenter quelquun qui, a nen pas douter te plaira beaucoup.
Le jeune métis navait pas refusé, il accepta de venir tous les mercredis. Il appréciait de plus en plus le sexe et ferait nimporte quoi pour recommencer à baiser avec cette femme qui pourrait être sa mère. Quant au repas, il avait dit oui sous réserve que son mari ne lui en veuille pas davoir sauté sa femme. Anne-Marie le rassura sur ce plan : « Tu as bien vu Margot, mon mari sait tout et nous sommes tous les deux daccord. En ce moment, il baise Josiane, la femme que je voudrais que tu connaisses. »
En effet, Josiane était en ce moment en train de crier son plaisir. Son amant était venu comme promis lui défoncer une nouvelle fois sa chatte et il ne repartira pas sen lui perforer lanus. Aujourdhui, sachant que François allait venir et se doutant quil ferait comme lautre fois, la sodomiser. Elle sétait préparée depuis le début de semaine en portant pendant plusieurs heures un plug anal et vers quinze heures, elle sétait faite un petit lavement. Elle tenait à être fin prête afin de ne pas décevoir François, son sauveur.
Indéniablement, sa queue était entrée dans son cul comme une lettre à la poste, après quelques aller et retours puissants, il se vida de tout son sperme dans son rectum en poussant un grand râle tandis que Josiane pris un nouvel orgasme. Décidément, ces deux-là sentendaient à merveille et ils avaient pris la décision de se revoir régulièrement tous les mercredis soir à la même heure. Josiane en voulait plus bien entendu, mais François ne pouvait plus assumer comme autrefois, dautant plus quil devait satisfaire sa jeune secrétaire. Ce petit secret, le restera pour le moment.
Juste avant de partir, François invita Josiane à ce repas à la maison pour le mois prochain. Très surprise, elle ne répondit pas tout de suite mais très vite son amant lui expliqua la situation. Le rendez-vous était pris.
Une suite simpose, vous pourrez la lire mercredi prochain dans la catégorie « zone rouge ».
Chères lectrices et chers lecteurs, merci davoir lu ce récit qui sort tout droit de mon imagination. Jaimerais connaitre votre sentiment. Vous serez gentils de laisser un commentaire, je compte sur vous. « Perruche »
Vous aussi, si vous avez des idées dexpériences sexuelles, partagez-les avec moi, avec votre aide, je les écrirai à votre place. Contactez-moi par mail. Cyp.perruche@orange.fr
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